Presse
Extraits de Presse
LE MONDE, 3 avril 2010
Et si les efforts pour trouver le bonheur étaient contre-productifs ? Si, à vouloir chasser les émotions désagréables (tristesse, colère, déprime, anxiété, etc.), on ne faisait que les renforcer? C’est ce que postulent les techniques de méditation dites de « pleine conscience ». Elagués de leur dimension religieuse, ces exercices ont pour but de permettre aux sujets de prendre du recul par rapport à leurs automatismes mentaux.
LE PARISIEN, 31 octobre 2011
CERVEAU et PSYCHO, Octobre 2010
Avec la MBSR on constate « une moindre activité des zones cérébrales dites auto-référentielles, c’est-à-dire activées quand on réfléchit sur soi-même. Ces zones autoréférentielles sont particulièrement actives chez les personnes dépressives qui ruminent des pensées négatives dont elles sont le centre. La pleine conscience semble associée à une moindre tendance à se focaliser sur soi-même, ainsi qu’à une meilleure stabilité émotionnelle
Après avoir longtemps été cantonnée aux domaines de la spiritualité et du développement personnel, la méditation, notamment dans sa forme dite de pleine conscience, vient donc de faire une irruption remarquée dans le champ de la psychiatrie et des neurosciences. »
MATHIEU RICARD, "L'art de la méditation"
Un nombre croissant d’études scientifiques indiquent que la pratique de la méditation à court terme diminue considérablement le stress (dont les effets néfastes sur la santé sont bien établis), l’anxiété, la tendance à la colère (laquelle diminue les chances de survie après une chirurgie cardiaque). Huit semaines de méditation à raison de trente minutes par jour, s’accompagne d’un renforcement notable du système immunitaire ainsi que d’une diminution de la tension artérielle (hypertendus et psoriasis).
FRANCE INTER
Interview avec Christophe André